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 |  Sujet: May di Marielli. ~terminée  Ven 6 Mar - 4:00 | |
| I. Identity.
NOM: Di Marielli.
PRÉNOM(S): May.
SURNOM: The Double-Egded man. (en référence à ses deux lames et à son caractère "changeant")
AGE: 19 ans.
NATIONALITE : Italienne & Anglaise.
SEXE: Masculin.
DATE & LIEU DE NAISSANCE: 5 mai à Brescia.
CAMP : Un mafioso reste un mafioso...
II. Apparence & Mental.
Physique : L’apparence du jeune May est en somme, ce qu’il y a de plus banal. Sa chevelure couleur de nuit lui tombe gracieusement sur les épaules. Quelques mèches de longueurs différées saccadent sa peau, cassant un peu cet air vide toujours figé sur son visage qui ne le décolle jamais. Le plus souvent, il lâche ses cheveux, dévoilant leur esquille, mais il lui arrive parfois de les attacher, particulièrement lors de ses entrainements journaliers, lors desquelles il se rappelle à chaque fois de les couper, sans jamais le faire. Une des caractéristiques physiques des plus saisissantes du jeune homme sont cependant ses yeux. Véritables saphirs oculaires, ses pupilles sont d’un bleu si clair et perçant, voir même trop pur pour un gars comme lui dit-il, qu’elles donnent l’impression de pouvoir lire en n’importe qui. Sa famille était la première à dire que regarder cet enfant les yeux dans les yeux pouvait réellement être très troublant, si bien que tous évitaient de croiser son regard.
Ses traits de visage fins adoucissent ; ou renforcent, cela dépend des points de vue ; son expression impitoyablement neutre, soulignés par une peau blanche, porcelaine, et paraissant soyeuse, le faisant parfois passer pour un asiatique que pour le parfait sud-européen qu’il est. Il a des lèvres fines et joliment dessinées. Mince et bien taillée, sa silhouette est commune à celle d’un jeune garçon standard. May porte usuellement un simple costume noir et une chemise grise, agrémentée d’une cravate sombre. L’uniforme du mafieux standard au final. Il lui arrive cependant d’enfiler ; sous l’obligation de ses supérieurs ; un de ces longs manteaux en cuir, devenu au fil du temps habit par défaut de la Varia. Son allure lui est propre, sublime croisement entre nonchalance et élégance, tandis que sa démarche est assurée, saccadée par les fourreaux vacillants de ses deux wakizashi respectivement bleu nuit et pourpre, accrochés aux extrémités de ses hanches, véritable insulte aux pourfendeurs de l’art du sabre, pour qui une arme se porte constamment à gauche.
Signe(s) physique(s) particuliers: Pas réellement, si ce n'est un V (chiffre cinq, pas la lettre) tatoué sous l'oreille gauche.
Caractère : On dit que les apparences peuvent être trompeuses et bien, pas dans son cas. May dégage une image de véritable glaçon humain, et c’est ce qu’il est. Agaçant au possible, il se plait à jouer un double jeu : un garçon froid, égocentrique et le plus souvent narquois, mais qui peut, si l’envie lui prend, changer de facette et devenir un tout autre homme. Clairvoyant de son intelligence surdéveloppée, il a démesurément confiance en lui, allant jusqu’à foncer tête baissée dans n’importe quelle situation, inconscient du danger. Comme tout tueur de sang froid, la mort ne lui fait pas peur, et, en bon orgueilleux qu’il est, May n’écoute que très rarement les conseils qu’on lui donne, prenant stupidement des risques ; même si rapidement éliminés ; lors de ses missions d’assassinat. Missions qu’il mène la plupart du temps à la perfection de part son maniement de ses armes quasi-irréprochable et son grand intellect, malgré son statut de « sous-fifre de la Varia » dut à son manque cruel de dialectique.
Car le jeune italien est tout ce qu’il y a de plus illogique : un jour, il serra abominablement enjoué par l’idée d’un nouveau meurtre, affichant un de ses rares mais pourtant si appétissant sourire sarcastique, l’autre, il se cachera en vue d’ignorer ses ordres de missions, pour préférer méditer, faire de longues balades inutiles, ou encore jouer aux cartes, l’une de ses activités favorites.
Il reste toujours stoïque, calme, et lorsqu’il lui arrive, même rarement, de s’énerver, il prend fâcheusement son air narquois qu’il utilise à bon escient pour déconcerter et agacer encore plus la personne responsable de ses maux, la provoquer et la pousser à bout. Derrière cette carapace vide et comme destituée de tout sentiment que semble être May, le mafieux qui marque toujours ses victimes d’un « V », (parait-il que ce chiffre est entre autre sa signature) se cache un être tout à fait banal et indifférent au monde qui l’entoure. Naturellement, il est particulièrement doué dans l’art de tromper les autres. Il réussit à cacher ses états d’esprit, ses jugements ou même ses goûts. Pour tous, il reste une véritable énigme. Personne ne serait à même de donner un réel profil de May.
Like/Dislike : Ses gouts se résument en peu de choses: May aime avant tout sabrer, surtout à but sanglant, c’en est d’autant plus divertissant. L’italien aime aussi par-dessus tout le chiffre cinq (jusqu’à ce l’être fait encrer dans la peau), il dit qu’il lui porte bonheur, pour des raisons jusque là inconnu. On peut noter aussi chez le jeune homme une addiction certaine au café, et également le fait qu’il soit un excellent joueur de poker.
III. ___Story*
Il fallait l’avouer, May était fils d’une famille ; à ses yeux ; d’une médiocrité affligeante. Son père était un homme stupide, dépourvu de toute forme intelligence, à peine capable de tenir ses responsabilités de chef de famille, et encore, seulement lorsqu’il n’était pas complètement ivre. Sa mère quant à elle, avait un charisme digne de celui d’un bulot, et brillait par sa niaiserie sans bornes, à tel point qu’elle n’avait pas trouvé meilleur prénom à son dernier fils que le mois de sa naissance. Ses frères et sœurs… il ne les avait jamais compté, ne s’en était jamais intéressé. Dix, douze ? May n’en savait rien. Tout comme ses parents, le jeune italien les jugeait trop insignifiant pour mériter une quelconque attention de sa part, et s’était contenté de mémoriser ; plus ou moins ; leurs visages, sans prendre la peine de retenir leurs noms. Il avait une famille de raté, pas un pour sauver l’autre, tous aussi abrutis les uns que les autres. A son grand désespoir.
Et comme pour tout génie de sa trempe, il était bien compliqué et lassant de vivre dans une atmosphère de bêtise à un degré aussi élevé, au milieu de crétins finis. Dès son plus jeune âge, May quittait constamment le domicile familial dès que possible pour, comme il le disait si bien, partir découvrir le monde. Ses épopées évidemment étaient toujours de courtes durées de part son âge, mais suffisaient à laver son esprit de toute l’insanité qu’il côtoyait au quotidien. Il était ce genre de garçon assez étrange pour aller jusqu’à maudire sa propre famille, son propre sang, qui, à ses dires, souillait son nom. Il ne vivait pas, il survivait, étouffé peu à peu par les siens et par le temps qui passe.
Puis tout commença. Un jour en apparence banal, pendant lequel May avait une nouvelle fois quitté la demeure di Marielli en quête de nouvelles aventures. Le jeune garçon de 8 ans qu’il était à cette époque avait arpenté les rues de Brescia, sa ville natale, à la recherche d’événements dignes de lui ; on est orgueilleux ou on ne l’est pas. Et il les vit. Cinq hommes, tous vêtus de costumes et parés de lunettes noires, s’enfonçant dans une venelle urbaine, avec classe et élégance. Evidement, l’enfant savait qui ils étaient : des mafiosi, trop populaires et redoutés en Italie pour passer inaperçu, même aux yeux de ce gamin. Discret au possible, May les avait suivis, ne lâchant pas une seule fois du regard ces hommes mystérieux pour qui il éprouvait déjà un grand respect, sans même connaître leurs intentions. Mais çà, il s’en fichait du moment qu’il pouvait les admirer, des étoiles pleins les yeux et son inhabituel sourire sarcastique encré sur ses lèvres. Le jeune di Marielli n’avait rien raté : de leurs démarches patentes jusqu’à la sublime façon dont ils avaient tué plusieurs individus sous les cris stridents des femmes apeurés, May avait croqué à pleines dents chaque seconde de ce splendide massacre. C’est ainsi que ce gamin avait trouvé sa voie : plus tard, il travaillerait pour la mafia.
Mais un homme ne devient pas mafioso en un claquement de doigts, surtout un pauvre gosse comme lui, il le savait pertinemment bien. Sa première résolution avait été de trouver son arme, l’objet de prédilection avec lequel il ferait couler le sang, sa meilleure amie. Son crétin de géniteur possédait une salle d’arme, dans laquelle il collectionnait toute sorte d’armements, au grand bonheur de May qui, devant tous ces instruments, n’avait su que choisir. Il avait donc tout essayé : le flingue ne collait pas avec son allure, les grenades et autres bombes n’étaient pas très nobles ; selon lui. Les fusils faisaient trop « m’as-tu vu ? », les katana étaient trop longs, les poignards trop courts, et se fut le mélange des deux qui fit trémousser son petit cœur : deux wakizashi.
Rapidement, May s’était familiarisé avec ses deux katana courts, s’entrainant sans relâche et secrètement, une fois les obligations de la vie quotidienne achevée. En un an, jour pour jour, il avait su atteindre un niveau de maniement des armes époustouflant, prouesse assez déconcertante pour un enfant de neuf ans à peine. Ses coups étaient précis, puissants et certains. En bon arrogant, il ne doutait aucunement de ses capacités et avait déjà une profonde confiance en lui.
Et vint ce soir. Une belle nuit de mai, un cinq mai pour être précis, jour de la naissance du fils cadet di Marielli. Ce dernier avait longtemps attendu cette date décisive, non pas pour sa fête d’anniversaire, puisqu’il n’y avait pas droit, mais pour ce qu’il allait enfin pouvoir entreprendre. Les crocs visibles, les yeux étincelants et les lames aiguisés, le jeune italien avait enfin la force requise pour exécuter son rêve qui, aussi loin qu’il s’en souvienne, avait toujours été ou presque, son désir absolu. Et ainsi que, le jour où il aurait normalement du fêter sa dixième année, en moins de temps qu’il ne leur eut fallu pour s’en rendre compte, May massacra littéralement toute sa famille, le sourire aux lèvres.
Le carnage qu’il avait laissé derrière lui avait doucement commencé à s’ébruiter à travers la région, puis, au fil des unes de journaux publiées narrant les faits, dans l’Italie entière. Les corps des di Marielli avaient tous été retrouvés lacérés, déchiquetés, victimes d’un crime dépassant grand nombre d’autres meurtres par son horreur. Les médias parlaient d’un tueur de sang froid, fou allié, et dangereux criminel. Lui se défendait simplement en disant qu’il avait mené des déchets à la forme qui leur était destiné. C’est ainsi que May fut repéré par une des nombreuses familles au service des Vongola. Certes, il n’était qu’un sous-fifre à qui on confiait les taches les moins appréciées et les missions de seconde zone, mais il en était néanmoins content : il servait la Famiglia des cinq mafieux qui l’avait orienté sur cette voie, les Vongola.
Le temps passait, May grandissait, tout comme ses qualités de tueur à gages qui commençait doucement à lui donner de l’ampleur, jusqu’à ce qu’il soit directement transféré dans l’élite de la Varia, la fameuse affiliation d’assassinat. Mais, même s’il lui plaisait de tuer, la volonté parfois, n’y était pas. Il lui arrivait de « sécher » des missions aux apparences pas assez excitantes pour lui, perdant peu à peu la confiance de son boss, jusqu’à finalement être rétrogradé, passant d’assassin d’élite à vulgaire subalterne. Mais il n’en avait pas pour autant perdu ses capacités, et, au final, se jura de retrouver un jour la place qu’il eut eu au sein de la Varia.
IV. Liens & Relation(s)
Famille : Un père ivrogne, une mère stupide, d'innombrables frères et soeurs inutiles... On ne peut pas réellement dire que l'épéiste soit fier de sa famille. Quoique si, il est fier d'une chose les concernant: le fait de les avoir tous envoyé six pieds sous terre.
Relationship: "Mes amis sont mes ennemis, mes ennemis sont mes amis." Comment interpréter cette expression avec l’individu aussi glacial qu'est May? Pourtant, il dit que cette phrase résume sa philosophie des relations humaines. Allez savoir.
IV. Arme & Technique(s)
Arme : Deux wakizashi. (sorte de katana court)
Technique : Il n’a pas réellement de technique, il utilise ses armes selon son humeur. Di Marielli peut aussi bien tuer rapidement et proprement, que faire un vrai massacre.
Sinon, comme tout assassin, May a ses petites fantaisies inutiles : le jeune homme utilise souvent une sorte de réaction chimique sur ses lames pour leur faire dégager une aura bleutée, qui pousse certains idiots à croire que c’est la flamme de Dernière Volonté d’un gardien de la Pluie. Il a aussi comme autre excentricité de toujours marquer ses victimes d’un V à l’aide de mes armes. Bref, un tueur bien singulier.
Autre(s): Le niveau de ma fiche est abominable, je ferai mieux en rp, promis. ;__ ;
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