Travail animé d'un Varia =3 [Libre parce que sans amis xD]

Cela était une journée banale comme toutes les autres, comment définir autrement que le quotidien ennuyeux des citoyens puisque le ciel azur offrait un immense sourire pendant que le chant des oiseaux dominant les cieux ornaient leurs milieux tout en se reposant quelques fois sur les bâtisses que l'être humain avait construit. Nombres de fois les pensées se demandant pourquoi ces êtres qui avaient prit l'espace vital de leurs confrères animaux méritait la clémence des cieux mais c'était une évidence qui fut l'enseignement de notre bon héros: Les plus forts mangeaient les plus faibles. Bien que n'adhérant pas du tout à cette manière de pensée, cela fut la base de son éducation à part que celui de la récolte d'informations des Bookmans, si vous vous demandez bien ce que pouvaient être ce nom à conotation anglaise alors écoutez bien la suite. Depuis la nuit des temps, ce sont des mafiosi ayant comme emploi de collecter au dépends de leurs misérables existences toutes sortes d'informations quelles soient aussi bien ridicules, futiles ou bien confidentielles. Ils étaient à la fois les plus redoutés que plus aimés selon le camps dans lequel ils se trouvaient mais par nature, ces hommes et femmes se trouvaient auprès des Vongola. Afin de pouvoir obtenir de nouvelles sortes d'informations, notre héros rejoignit, avec la grande aide du Neuvième du nom, les Varias: Un groupe de tueurs d'élites de la famille dirigé par un homme des plus dangereux nommé Xanxus. Ce ne fut que l'affaire de quelques mois avant que de nouveaux ordres de missions furent donnés de la part de son grand-père ainsi que son supérieur réel ayant le titre de parrain en devant se rendre à Namimori afin d'offrir son aide à une personne...Particulière.
En effet, Kanna devait se rendre dans cette ville dans l'unique but de surveiller le futur prétendant au titre de Juudaime mais aussi de voir l'avancée de l'enseignement du précepteur Reborn afin que Tsuna soit prêt aux combats que l'avenir lui réservait. Cela ne serait pas une tâche aisée mais dans un certain sens, l'amusement serait bien plus important dans ce nouvel ordre que de jouer les apprentis tueurs en se tâchant les mains de ridicules adversaires. Souriant de ses fines lèvres tout en baisant la main de son parrain comme signe de respect mais aussi d'acceptation de cette requête, le jeune homme se dirigea vers le Japon afin de mener à bien sa mission mais aussi de découvrir le charme des japonaises.

L'amour, rien de tel que pour avoir des jours merveilleux mais aussi amusants en prenant soin de celle qui ornait le coeur du jeune homme surtout dans le monde des mafieux! C'était bien beau que de prendre de l'ampleur dans ce monde cruel mais aussi sans pitiés mais Peace and love un peu quoi! Tout en se laissant bercer par ces magnifiques pensées sereines, beaucoup de chuchotements firent échos dans les couloirs en se demandant pourquoi le nouveau homme de ménage de l'établissement enlaçait son balais au milieu des couloirs. Il était bien vrai qu'un jeune homme de 19 ans avec un bandeau sur l'oeil droit caressant son balais tout en imaginant des scènes romantiques avec une jeune fille pouvait être louche mais cela ne le gênait pas plus que ça. Après tout, il s'assumait comme il était surtout dans son caractère d'imbécile finit complètement insouciant de son futur tant qu'il vivait à ses moindres désirs le moment présent...Peu importait le reste! Une tenue habituelle ornait son corps bien que cela fut vite gaché mais les détails viendront bien rapidement, tout d'abords une chemise blanche ornait son torse pendant qu'un pantalon beige s'occupait de ses jambes en les recouvrant d'un tissu de valeurs mais aussi légers permettant de bons mouvements, une ceinture avec comme boucle une tête de mort en argent qu'il cachait par un tissu étranger...La combinaison des hommes de ménages de l'établissement, pour ne pas salir ce qu'ils avaient sur eux possédait une longue toge blanche ainsi qu'un chiffon de la même couleur dans les cheveux et rendait son charme un grade en dessous. Cela faisait maintenant trois jours que le jeune homme à la chevelure rougeâtre semblables aux plus belles flammes cachant d'un grande mèche son oeil borgne était en ces lieux en tant que nouveau homme de ménage. Cela ne fut que très rapide que d'être accepté en trafiquant un peu son CV mais quoi de plus normal venant d'un mafieux? Kanna ne s'était pas gêné dans sa lettre en ayant mit qu'il était étudiant à la célèbre université de Waseda et souhaitait avoir un contrat à durée indéterminé en ce collège afin de gagner quelques fonds pour ses études, un tel exemple de diplômes ne purent que le rendre admirable et reçut tout de suite la raison de sa venue ici...Loin de ses terres bien malheureusement. C'est ainsi que le jeune homme continua à essuyer le sol tout en sifflant de façon bien remarquable dans les couloirs tout en n'hésitant pas parfois à se baisser pour voir sous les jupes des jeunes collégiennes pendant qu'il tentait d'echapper aux regards sévères des hommes du conseil de disciplines...Bien qu'étant des collégiens, évitons de se faire prendre dans une mauvaise posture et d'avoir des ennuis...Il valait mieux pour sa peau surtout au vu de la réputation d'un certain Hibari.

Se caressant lentement le menton tout en lançant quelques regards pervers sur les courbes de ces jeunes filles ne demandant qu'une seule chose de lui: qu'il leur fasse une déclaration flamboyante afin de prendre leurs cœurs purs comme objet de désirs multiples. Bavant tout en imaginant quelques scènes interdites aux mineurs et les yeux vers le plafonds avec une pupille livide, Kanna reprit ses esprits tout en marmonant avec intérêts:

"Mmmh...Pas mal du tout les collégiennes ici. Il serait temps que je trouve le grand amour moi."

Cela n'était pas vraiment la caractéristique même du travail difficile, certes le salaire n'était pas tellement fastidieux, comparé aux exercices de la Mafia qui pouvait rapporter assez pour se prendre un appartement de luxe mais en devenant un homme de ménage d'un établissement scolaire...Il était incroyable le nombre de zéros après le chiffre qui disparaissaient juste parce qu'il était maintenant d'une classe sociale bien basse mais notre bon héros ne s'en plaignait pas vraiment, il acceptait cette mission avec un énorme sourire en esperant qu'il puisse s'amuser comme il le voulait ici. Cela semblait être animé et c'est pourquoi rien au monde pour le moment ferait perdre la joie de vivre que possédait le Varia dans des situations tellement où la fierté serait atteinte après tant d'évènements comme si cela était normal et qu'il s'en fichait. Eh bien il marchait pas mal sur ce trait de caractère que possédaient pas mal de mafiosi qui consistait à protéger l'honneur de leurs supérieurs ainsi que le sien avec les capacités au combat qu'ils avaient appris mais Kanna fonctionnait différemment...Il n'accordait pas tellement d'importances à ces differences de grades bien que cela soit tout de même un terme à respecter de ce que lui avait apprit son grand père mais pas au point de s'abaisser devant juste pour obtenir la reconnaissance. Il était plutôt du genre à faire de grands coucous de la main amicalement tout en demandant si la journée était bonne sans formules de politesses ou encore de signes pouvant être une marque de respect hiérarchique. Reprenons donc la tendre et merveilleuse vie de notre jeune fou furieux du sourire presque en concurrence avec un Base-balleur dont le nom lui est pas encore connus puisque c'était juste une anecdote du narrateur et que le sérieux est semblable à celui du personnage balayant dans les couloirs innombrables de cet établissement scolaire du niveau collège.

Observant les jeunes demoiselles passant devant lui sans vraiment faire attention à lui ou alors juster passer un coup d'oeil sur l'auteur de paroles diverses et stupides n'ayant vraiment aucun intérêt mais que je me dois de vous raconter pour le bon point de vue de qui est vraiment ce Varia unique. Les pensées fusèrent dans l'esprit du jeune homme, pendant que le liquide servant au bon nettoyage du sol, le regards unique de celui-ci se levait vers le toit non pour l'observer mais bien pour que laisser le vagabondage de son esprit pervertit par des scènes diverses se fassent. Laissez-vous guider par les mots que je vais vous citer pour comprendre bien ce qu'il se passe dans cette cervelle ne pensant pas du tout aux combats à venir ou encore à sa mission...Enfin juste à une partie. Une jeune fille courait dans les couloirs tout en tendant sa main au-dessus de sa tête pour que le ménager puisse s'appercevoir de sa présence, un sourire énorme ornait les fins traits de l'adolescente qui courait telle une Archange flottant dans les cieux afin de l'apaiser de tous les maux de la terre. Une longue chevelure dorée ornait par une longue taille le visage angélique ainsi que ses frèles épaules ne demandant qu'à être enlacées pendant que son uniforme balayait l'air sombtueux de l'amour tout en s'écriant:

"Kanna-Sama!!!"

Que dire de plus que la profonde admiration de voir enfin un rêve se réaliser, mais ne pensant toujours pas qu'il rêve il continuait son délire...La collégienne inventée de toute pièce finit par prendre l'équilibre dans sa course en laissant son corps tendre tomber en avant lentement pendant que son visage pur ne se rendait pas encore compte de ce qui allait se passer. Elle allait se blesser si rien ne se mettait en travers pour la protéger et cela la blesserait, mais une main ainsi qu'une carrure tendre la rattrapa avant tout en demandant d'une voix calme et de façon noble si tout allait bien. Lui adressant un tendre sourire charmeur afin la petite étoile brillant dans ses dents blanches, le jeune Varia colla cette belle élève contre lui tout en approchant ses lèvres des siennes tout en pouvant vivre une scène des plus romantiques. Bavant du coin des lèvres tout en laissant quelques taches rosées sur ses joues se faire apparaitre pendant qu'il vivait cette scène qu'il espérait prémonitoire, Kanna fut vite sortit de ses pensées par un choc se passant non loin de sa position. Etant légèrement étonné de ce qu'il y trouvait, il fut dégouté de voir que c'était un garçon et non une jeune fille comme dans ses rêves bien qu'il ne l'avait pas rattrapé et laisser se manger le sol lamentablement. Encore si c'était une jolie collégienne qui tomberait folle amoureuse de lui mais ce ne fut le cas et il ne put retenir sa réaction enfantine face à cette situation. Pointant du doigt le malheureux ayant fait une chute sous ses yeux, Kanna sourit avant d'éclater de rire et finit par émettre de sa voix puissante dans les couloirs qui faisaient écho avant que ses cordes vocales ne lancent:

"BWAHAHAHA! Comme tu t'es mangé la figure! Trop fort!"

Le tact, voilà ce qu'il manquait à notre bon héros pour être une personne ayant de bons amis mais ce ne fut le cas puisqu'il s'amusait de la situation tout en ne se rendant pas compte de suite de la couleur rougeâtre ornant la chevelure de l'inconnu. En même temps, il n'était pas encore sortit de son fou rire alors c'était pas gagné. Après un petit moment où il s'amusait, notre bon héros tapota sur l'épaule du jeune homme tout en continuant à sourire puis essuya de sa seconde main les larmes perlant sur ses propres coins des yeux dut à ce qu'il avait vécut d'amusant et lança:

"Pas mal du tout ta figure acrobatique mais de là à simuler du sang! T'as du talent petit!"

Fernando avait mal. Très mal. Il ne comprenait pas pourquoi des rires fusaient autour de lui, et ne comprenait pas d'où ils provenaient. En levant la tête avec un effort, il se rendit compte qu'il s'agissait de l'homme qu'il avait vu par la fenêtre alors qu'il était en classe. c'était l'individu qui balayait la cour. Le garçon ne comprenait pas pourquoi ce dernier riait. Qu'y avait-il donc de si drôle dans le fait de voir un élève faire une telle chute et se blesser sérieusement. Sérieusement. Oui, c'était le mot. Car Fernando sentait le sang couler le long de son cuir chevelu, et la douleur le martelait dans son crâne. Qu'est ce qui avait bien pu entraîner cette chute? Le jeune homme n'en savait rien. Tout ce qu'il pouvait dire, c'était qu'il espérait que cela n'aurait aucune incidence sur son intelligence, et sur sa capacité à concevoir de belles inventions en tous genres.

" BWAHAHAHA ! Comme tu t'es mangé la figure ! Trop fort ! "

Fernando n'écouta que d'une oreille distraite les moqueries de l'homme. Visiblement, ce n'était pas quelqu'un de très aimable. Se moquer ainsi d'une personne blessée au lieu de l'aider, c'était le comble du mauvais goût. Le garçon se tenait toujours la tête d'une main, tandis que l'autre était posée en appui sur le sol, avec laquelle il tentait de s'asseoir. Deux ou trois minutes furent nécessaires pour y parvenir, tant son corps était parcouru de frissons douloureux, sans oublier que sa tête lui tournait et que sa vision était légèrement défectueuse après coup. Finalement, alors qu'une sensation de chaleur envahissait sa main posée sur sa tête et que quelque chose glissait le long de son bras, l'adolescent porta son regard sur l'origine de tout cela, et vit que sa main était pleine de sang, et que c'était aussi du sang qui coulait le long de son bras. L'autre sembla s'en apercevoir car ses propos parvinrent aux oreilles de Fernando.

" Pas mal du tout ta figure acrobatique, mais de là à simuler du sang ! T'as du talent, petit ! "

Mais qu'est ce que c'était que ce type ? Complètement givré. Simuler du sang ? Figure acrobatique ? Vraiment taré. Fernando lui aurait bien fait part de sa façon de penser à ce moment là, mais il se sentait trop mal pour quoi que ce soit. C'est tant bien que mal qu'il parvint finalement à se lever. Il tituba durant un moment, ne prêtant plus attention aux propos de son vis à vis, et se mit à marcher sans but, vers l'entrée du bâtiment qui renfermait les diverses salles de classe et autres pièces de l'école.

" J'ai mal... " fut tout ce qu'il put dire, d'une voix faible, tandis que sa tête continuait à tourner et que son sang coulait le long de son visage après s'être frayé un passage entre les mèches de sa chevelure.

Le garçon marchait d'un pas lent, manquant de s'écrouler à chaque pas. Il espérait ne pas avoir de fracture crânienne, mais il savait que sa blessure n'était pas anodine. Tout autour de lui, le monde semblait s'éloigner, le décor tournant à toute vitesse, et les sons devenant assourdissants. Incompréhensible. Et pour quelqu'un qui se savait extrêmement intelligent, ne pas comprendre était quelque chose d'assez difficile à accepter. Pourtant, le moment n'était pas venu de se poser des questions. En fait, il en était probablement incapable. Avant même qu'il ne puisse s'en rendre compte, il était de nouveau étalé sur le sol, à demi-conscient, les yeux toujours ouverts. État critique, quoi...