Fiche Fernando Consolini ( FINIE )

I. Identity.

NOM: Consolini
PRÉNOM(S): Fernando Pédro Roberto Ricardo (seule sa mère utilise tous ces noms lorsqu'elle le rappelle à l'ordre...)
SURNOM: Mis à part les surnoms que sa mère lui donne lorsqu'il lui fait part d'une chose qui fait qu'elle est fière de lui, mais dont la décence me pousse à refuser de les divulguer (Choupineeeeeeeet * SBAF * qui a cafté? > <) ainsi que la liste complète de ses prénoms dès qu'il se fait réprimander, Fernando n'a pas de surnom... (comment ça ça en fait déjà un paquet? > <)
AGE: Quinze ans.
NATIONALITE : Italienne du côté de sa mère, Mexicaine du côté de son père, et Japonais de Naissance.
SEXE: Masculin.
DATE & LIEU DE NAISSANCE: Un certain 8 Février, à Namimori.

II. Apparence & Mental.

Physique :

Fernando ne mesure pas une très grande taille. En fait, il est même plutôt petit pour son âge. Mais il ne s'en soucie guère, hormis dans certaines circonstances qui seront dévoilées plus tard. D'un teint assez pâle, contrastant ainsi avec sa origines du côté de son père, le jeune homme arbore une chevelure châtain clair épaisse qui s'étend sous la forme de nombreuses mèches tombant de chaque côté de son visage. Ses yeux marrons ont également une certaine taille, mais " ça prouve qu'il est doué d'un grand sens de l'observation" d'après sa mère. Enfin bref. Sinon, le garçon porte la plupart du temps des débardeurs et shorts aux longues manches qui lui descendent un peu plus bas que les genoux. Cela dit, cette tenue n'est là que pour le "civil" si je puis dire. Car lorsqu'il est à l'école, Fernando porte alors son uniforme scolaire composé d'un pantalon et d'une chemise entre autres choses. Le jeune homme a une voix assez frêle, ce qui montre qu'il n'a pas encore mué de ce côté là.
Signe(s) physique(s) particuliers: Hormis un petit pendentif sur lequel est inscrit son nom en caractères japonais, Fernando possède également un signe assez particulier, même si ça ne touche pas directement son corps : il transporte toujours sur lui son nécessaire de bricolage, dans une sacoche accrochée autour de sa taille, avec deux ouvertures, comme s'il s'agissait de deux sacoches. L'une s'ouvre au niveau de sa taille, et l'autre au même niveau mais dans le bas du dos. Autant dire qu'il en a du matos...

Caractère :

De nature très calme, Fernando est plutôt solitaire, n'ayant pas d'amis, ni de frères et soeurs. Cependant, ça ne signifie pas qu'il se renferme sur lui-même lorsqu'on l'aborde. Non, au contraire, il est toujours très ouvert à de nouvelles rencontres. Qui sait? Cela lui permettrait peut-être de se lier d'amitié avec quelqu'un. Par ailleurs, même s'il reste souvent dans son coin et ne parle pas trop, cela n'empêche pas que le jeune homme est très intelligent. En fait, n'ayant pas vraiment de grandes capacités physiques, il mise tout sur l'intelligence et le savoir. C'est d'ailleurs quelqu'un qui possède beaucoup de matière grise, et qui sait s'en servir. Le garçon est tout le temps très gentil avec les gens, ne semble pas apte à s'énerver quoi qu'il arrive, et se montre souriant avec ses interlocuteurs. cela dit, il ne fait aucun doute qu'il doit exister certaines manières de le mettre hors de lui, tel que s'en prendre à ce qui lui est cher, mais heureusement, rien de tel n'est jamais arrivé à ce jour. En fait, Fernando ne se plaint pas de sa solitude. Il trouve ainsi le temps de laisser libre cours à ses passions, et de passer du temps pour aider ses parents à la maison. C'est un enfant tout à fait simple, en somme.

Like/Dislike :

Fernando aime la vie. Si si, ça a son importance. Il aime simplement vivre, être présent en ce monde. Cela lui suffit. Il pourrait rester des heures immobiles, à apprécier ce qui l'entoure. C'est d'ailleurs ce qu'il fait parfois. Par ailleurs, le garçon a sa passion : bricoler, créer. Pour être plus précis, il fabrique tout et n'importe quoi avec ce qu'il a sous la main. Ses outils sont là pour ça d'ailleurs, mais ce que les gens ne veulent plus, trouvent inutiles, pour lui c'est une mine au trésor pour fabriquer de nouvelles choses. Il est très écologique à sa manière, si je puis dire. En ce qui concerne ce que n'aime pas le jeune homme, vient en tête de liste la violence. Malgré son intelligence, Fernando se heurte toujours à l'utilité de cela. Il ne comprend pas à quoi ça sert de se taper dessus. Il n'aime pas non plus tous ces voyous qui parsèment les rues, volant, criant, injuriant et frappant n'importe qui sans raison. En outre, il adore la musique et en met tout le temps lorsqu'il bidouille ses créations. Même quand il est hors de chez lui, il se promène avec un lecteur audio qu'il met en permanence en activation. Cela lui permet de voir le monde dans une ambiance plus agréable, selon lui. Pour finir, d'un point de vue alimentaire, Fernando aime à peu près tout, raffole de lait ( il en a toujours une petite bouteille sur lui dans un emballage réfrigérant... ) mais déteste les épices et tout ce qui est trop relevé.

III. ___Story*

Fernando naquit à Namimori, d'un père mexicain et d'une mère italienne qui s'étaient installés au Japon peu après leur mariage, quatre ans plus tôt. Choyé par ses parents, il grandit dans une atmosphère simple mais suffisante pour lui. Lorsqu'il était bébé, le garçon avait déjà commencé à s'intéresser à tout et n'importe quoi, au grand plaisir mêlé de curiosité de sa famille. Cependant, les plus grandes surprises arrivèrent quelques années plus tard, lorsque le jeunot entra à l'école. Il montra des talents précoces pour la lecture, l'écriture, l'algèbre. Et même lorsqu'il lui fallait dessiner quelque chose, le résultat se matérialisait sous la forme d'étranges esquisses sensées représenter des objets ou autres robots confectionnés à partir de matériaux tout à fait banaux.

Durant ces années de croissance, les parents de Fernando furent assez mitigés. D'une part ils étaient très heureux, car un test psychologique avait clairement montré que leur enfant possédait une intelligence grandement développée. Mais d'un autre côté, le petit restait seul, dans son coin, alors que des groupes se formaient dans ses écoles sans qu'il ne fasse partie d'aucun d'entre eux. Mais le garçon s'en moquait. Il était heureux comme il vivait, et rien d'autre ne lui importait. Ses parents finirent par comprendre que sa vie lui convenait, aussi arrêtèrent ils rapidement de se faire du souci pour leur progéniture.

Dès l'âge de sept ans, Fernando commença à montrer ses talents de bricoleur à sa famille en transformant leur vieux grille-pain usagé et leur téléviseur en panne en un nouvel ordinateur. Autant dire que deux personnes en particulier restèrent un moment la bouche grande ouverte, ne sachant pas trouver les mots pour décrire ce qui se trouvait face à eux. Mais ils ne furent pas au bout de leur surprises, bien au contraire. Car à l'âge de dix ans, le jeunot dessina des plans qui intriguèrent sa famille lorsque ces derniers les virent. Sa mère demanda à son père ce que leur fils avait encore inventé, ce à quoi le paternel ne put répondre autrement que par un haussement d'épaules, les yeux au ciel. Mais ils furent fixés lorsque quelques temps plus tard, Fernando les invita dans la vieille cave abandonnée qui n'avait d'ailleurs plus rien d'une cave. C'était un véritable laboratoire mis sur pied par le garçon pour ses travaux. Son père ne put s'empêcher de dire qu'il comprenait mieux désormais pourquoi le bonhomme lui avait demandé si la cave servirait encore. Sa femme lui fit part de sa certitude comme quoi l'homme n'avait rien trouvé de mieux à faire que répondre par la négative. Mais passons.

Le temps passa, et Fernando intégra finalement le collège de Namimori. Bien sûr, il resta toujours aussi seul. Bien sûr, il ramena des notes qui crevaient le plafond. Mais tout cela ne changeait pas du passé, donc la même routine se poursuivait. Tout allait bien, mais pour combien de temps? le jeune homme l'ignorait, mais ne préférait pas se poser de questions à ce sujet, appréciant chaque jour qu'il lui était donné de vivre.

IV. Liens & Relation(s)

Famille : Fernando n'a aucune famille si on excepte ses parents. Il n'a d'ailleurs jamais connu les autres membres de cette famille, ignorant même si ses parents ont des frères et soeurs. Mais comme ils ne mentionnent pas le sujet, le garçon préfère se contenter de ce qu'il sait, c'est à dire qu'il est bien avec les proches qu'il a à ce jour.

Rosa Consolini : Il s'agit de la mère de Fernando. Elle est.. euh... attachée à son fils, dirons nous. Bon, n'ayons pas peur des mots : elle le chouchoute, est du genre très extravagante, a tendance à hausser la voix pour un oui ou pour un non – d'ailleurs lorsqu'elle est en colère, on peut dire que ça a tendance à exploser, ou comme dirait son mari : le loup est dans la bergerie... - mais c'est quelqu'un avant tout qui a un coeur d'or. Dans le voisinage, tout le monde la connaît – pas étonnant, car à peine installée dans un endroit, elle ne peut s'empêcher d'aller faire connaissance avec les voisins plus ou moins proches de son habitat... - et tout le monde l'apprécie. Fernando aussi l'adore, mais il a un peu de mal lorsqu'elle débite tous ses prénoms avant de le disputer. Mais ses surnoms quand elle veut le féliciter ne sont pas mieux, cela dit. Mais même malgré ça, Fernando adore sa mère.

Tito Consolini : C'est le père de Fernando. Le garçon a hérité du tempérament de cet homme d'ailleurs. Il est toujours calme, ne s'énerve jamais, et préfère se poser quelque part pour lire le journal plutôt que de courir partout. C'est à lui que vient s'adresser Fernando lorsqu'il ne comprend pas quelque chose. Par exemple, c'est arrivé lorsque le jeune homme a voulu comprendre à quoi pouvait bien servir la violence. Par contre, Tito ne prend pas d'initiative pour expliquer des choses à son fils. in a essayé une fois pour lui expliquer le mécanisme des abeilles et des petites fleurs, voire des cigognes qui la première solution s'avérait inefficace. Mais il a eu le malheur de commencer son exposé par "Laisse-moi t'expliquer comment tu es venu au monde". Il s'est vite rétracté lorsque son enfant de dix ans lui a dit qu'il savait ce qu'il y avait à savoir et lui a débité sans ciller tout le mécanisme scientifique de la reproduction. "Sacré bonhomme", comme ne cesse de répéter Tito, un fin sourire sur les lèvres et en secouant la tête lorsqu'il est épaté par l'intelligence de son enfant, c'est à dire régulièrement...

Autre(s): Même s'il ne fait partie d'aucune famille, vit sa petite vie, etc, Fernando possède lui aussi ses atouts du fait de son talent créatif. Qui sait si ça pourrait l'amener à devenir mafieux à l'avenir ? Car n'oublions pas qu'il y a une famille qui étudie dans le même collège que lui...

Merci ! ^^