Katekyo Hitman Reborn
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum rpg basé sur le manga Katekyo Hitman Reborn
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

 

 Happy St Day, My Valentine.

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptySam 14 Fév - 6:20

[ PV Julllllllllllllllllllllllio : 3 ]





Ah, ça y est ! Enfin ! Finalement ! C'est pas trop tôt !
Après de multiples et laborieuses recherches, elle avait réussit ! Elle savait où il exerçait ! Elle pouvait venir le voir, lui rendre visite, le retrouver ! Et dans le genre retrouvailles, la jeune fille avait fait fort. Elle était arrivée dans une période si romantique, n'est-il pas ? La St Valentin, quoi de mieux pour faire votre déclaration ? Bon, un balcon et une maîtrise parfaite de la poésie Shakespearienne... mais à défaut, la jeune Pensée s'était ramenée avec des roses. Oui, je vous voir venir de là : oh, quel manque d'originalité...
Mais au moins point de goût... enfin, c'est à voir...

Car voici le plan de la jeune donzelle :
Elle s'était levée de bon heure, en ce jour sublime de St Valentin. Elle était de bonne humeur dès que le premier rayon de lumière était venu s'étaler sur sa cornée. Elle s'était étirée puis elle était sorti du lit. Elle avait pris une douche bien chaude, en songeant très fort aux habits qu'elle allait porter. Parce qu'il ne fallait pas se tromper, pensez bien ! Aujourd'hui était un jour si important, elle ne pouvait pas se manquer. Non, pas aujourd'hui. En sortant, elle avait opté pour un caraco tout à fait mignon, rose mais pas flashy, et une jupe, grise et plissée – modèle très élève japonaise de manga, au cas où il aurait un lolita complex, faut bien le satisfaire tout comme il faut... elle avait enfilé des bas couleur chair mais déjà plus foncé que sa peau laiteuse, et des escarpins noirs. Pour s'assortir, elle avait noué dans ses cheveux un joli ruban noir, et d'un autre ruban de la même couleur, elle s'était fait un collier. Un joli collier avec une petite rose qui venait le parfaire. Quelle tenue... elle s'était parfumée, maquillée, coiffée. Elle se contemplait dans le miroir, se scrutant la face pour être sur de ne rien avoir oublié. Elle se lava les dents, et pris soin de vérifier que rien n'était resté coincé entre – ç'aurait été la pire des déconvenues...

Après ça, elle allait pour partir, lorsqu'elle eut une nouvelle idée... elle retourna dans sa chambre et fut prise d'une soudaine et folle envie. Elle troqua ses bas contre des bas résilles, les escarpins contre des talons un peu plus suggestifs, la jupe, contre rien, ajoutant simplement le porte jarretelles et une culottes en dentelles, et pour le haut, elle prit le soutien assortit à la culotte, et ne se couvrit que d'une petit gilet style serveuse de bar, acheté pas cher dans une chaîne de magasin branché pour ados, Pimk*e – le nom a été brouillé afin de préserver l'intimité de la marque...
Pour ne pas avoir froid – nous sommes en février, rappelons-le, elle revêtit un long et chic manteau de fourrure. Elle libéra quelque peu sa coiffure, la rendant plus « sexy », laissa son chignon désinvolte et bouclé, et s'arma de son sac à main – dans lequel elle avait lancé en vrac, son porte monnaie, des préservatifs, des chewing gums, son portable, et tout autre instrument indispensable à sa vie et à ce jour magnifique.

Elle avait fermé la porte de sa chambre, veillé à ne croiser personne – dans cette tenue, ç'aurait fait mauvais effet, tout de même, et traversa l'internat jusqu'à l'infirmerie. Bien sûr, pour les roses, elle les avait fait livrer, vous pensez bien. Quand elle arriva dans le cabinet, Julio n'était pas encore là – normal, il était tôt, et on était samedi. Comment fit-elle pour rentrer ? Oh, vous plaisantez ? Allons, elle le fit le plus naturellement du monde : elle ouvrit la porte avec la clef ! Quelle question ! Où avait-elle eu la clef ?..
Eh bien... euhm, enfin, disons que... la jeune fille, enfin, déterminée comme elle était, et bercée par un peu trop de films, avait comment dire, réussir à obtenir le moule parfait des clefs de l'infirmerie et voilà... un petit tour chez le serrurier... bon voilà hein enfin, voici, rien de plus...
Ahem, pour les roses, donc, elles l'attendaient sur son bureau, avec un joli petit mot. Désespérée de si peu d'originalité, elle décida de jeter le mot, et, choisissant le lit le plus en face du bureau elle s'y installa.
Elle dépiota avec amour chaque roses pour créer un lit de pétales. Elle en prit quelques uns, et, comme un de ses lointains ancêtres, elle suivit la fameuse tradition transmise de père en fils, et de fils en filles, et traça un chemin du lit jusqu'à la porte d'entrée – sait-on jamais, elle aurait pu se perdre dans un si vaste espace...

Enfin, elle était retournée s'allonger sur le lit, ayant pris soin de placer les coussins pour tenir une pose à la fois sexy et confortable. Chose des plus aisées, on n'en doute point, en un pareil cadre...
Elle avait gardé une seule rose, entière, la plus belle, qu'elle tenait dans sa main pour pouvoir la donner à Julio (<3). A présent, elle attendait, fébrile, qu'il entre dans son propre cabinet – dont elle avait, bien évidemment, refermé la porte.
Ah... elle respirait les effluves si doux de cette fleur si belle, et cela l'emportait dans le tendre monde de Phantasia.

Oh mon amour, ne me laisses pas
rêver de toi, quand je m'ennuies
Revenir en haut Aller en bas
Docteur Shamal
Others | Mafieux & Médecin
Docteur Shamal


Messages : 69
Date d'inscription : 24/01/2009

Feuille de personnage
Age du perso: 35ans
Humeur: Venez venez mes petits chatons !
Relation:

Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptyDim 15 Fév - 17:43

Docteur Shamal, de son éternel classe, se leva du méat de ses draps chauds… que n’étaient pas les siens. Un sourire aux lèvres, il se rappela que la soirée d’hier avait été bien bonne. Une belle donzelle qui cherchait son chemin, la bonne action du jour de notre médecin, "Oh merci brave monsieur, venez je vous invite boire quelque chose !" et le reste fut le déroulement naturel des choses. Et non, vous n’aurez pas les détails. Bande de dégoutants. Soupirant d’aise, il remettait sa chemise, la boutonnant de haut en bas et contemplant son reflet satisfait dans le miroir. Qu’il avait eu de la chance de rencontrer cette belle brune piquante et sulfureuse, son teint parfait et son nez droit. Gentleman, il contourna le lit pour contempler la belle endormie. Un pan de drap lui cachait le visage, sitôt, il retira le tissu et…
Daaaaaah ! C’est quoi ce truc immonde ! Une mocheté sans pareil, un gros nez, la peau grasse, les paupières gonflées, un double menton qui pendouillait et des cheveux secs et cassants. Infamie, quel était donc cette odieuse farce ! Les yeux écarquillés, il contemplait d’un air choqué la… chose qui se trouvait dans le lit. Bon, Shamal, calme toi, essai de te souvenir. Elle a proposé à boire, tu es allé chez elle, tu as bu, un peu, beaucoup et… sa sœur ! Ha, oui, ce truc c’est…
La porte s’ouvrit alors que Shamal fermait la braguette de son pantalon. La belle, la vraie, la sulfureuse, entra avec un plateau de petit déjeuner.

-"Bonjour monsieur, excusez moi de vous déranger, je vous apportais de quoi manger."

Elle posa le plateau sur une petite table de chevet.

-Je suis bien contente que ma sœur vous plaise ! Elle était seule pendant si longtemps, si vous saviez… En plus, c’est la fête des amoureux aujourd’hui, vous pourriez aller quelque part ensemble.

Aght, l’horreur. Non, non, nulle part avec ce thon ! Je m’appelle pas Longchamp moi, j’ai une dignité. Docteur Shamal, avec son manque de tact habituel, répliqua gentiment.

-"Si je dois aller quelque part, ce serait plutôt avec vous ma beauté ^3^"

La réaction ne se fit pas attendre, la belle ouvrit de grands yeux choqués, s’approcha, et mit une belle tourniole à notre docteur.

-"Comment osez-vous !!! Je… ! Déguerpissez ! Immédiatement !"

Elle le bousculait, le poussait, en fureur. En train de mettre ses chaussures, il sortit de la pièce à cloche pieds alors que la femelle en colère l’agressait. Un claquement de porte, il n’eut d’autre choix que de partir, une grimace d’incompréhension sur le visage. Ah, les femmes sont si compliquées… mais c’était ce qui les rendait attrayantes.
Shamal n’en perdit pas sa bonne humeur pour autant, aujourd’hui, c’était St Valentin. Une fête bidon mais bien plaisante pour draguer. Le pas classe, costume blanc, chemise noire, il se dirigeât vers son lieu de travail. La collègue Namimori bourré de gamins insipides et de jeunes filles forts alléchantes. Il entra dans la salle de professeur pour leur piquer un gobelet de café et se rendit vers son infirmerie. D’un geste nonchalant, l’adulte sortit la clef et essaya d’ouvrir son local mais, à la surprise général (mise à part la vôtre), la porte était déjà ouverte. Etonné, il rangea sa clef. Quand Reborn venait le voir, il laissait la porte fermé à clef et entrait par on ne sait quel moyen. Là, c’était étrange, douteux presque. Pris d’un reflexe aussi mafieux que classieux, il donna un coup de pied dans la porte, prêt à l’attaque.
Mais voilà que… que… que…
WOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!
C’était quoi CA ? Une donzelle fraiche comme pas deux, taillée comme une déesse se languissait sur un lit recouvert de pétales de roses. A ses pieds, des pétales aussi, qui indiquaient le chemin du lit. Mon dieu, mais… c’était qui cette jeune fille ? Une ancienne conquête ? Peu importe, tant qu’elle était là. Pour lui, rien que pour lui. Dessous son manteau de fourrure, on pouvait voir des promesses aussi érotiques et sensuelles. La dominatrice parfaite, une Vénus à la Fourrure.
Il aurait pu se méfier, c’était peut être un piège, c’était trop beau pour arriver comme ça, pouf mais il ne doutait pas que son charme puisse faire ce genre d’effet. Totalement gaga et le filet de bave aux lèvres, Shamal referma la porte. Il s’avança, essayant de camoufler son air totalement stupide sous une couche de sérieux et de classe. Le regard pénétrant, la démarche digne de James Bond, un sourire charmeur aux lèvres, il suivit le chemin, le gobelet toujours en main.

-"Eh bien, mademoiselle, vous allez attraper froid dans cette tenue, j’espère que je serais apte de vous guérir même si vous faites monter en moi quelques fièvres qui me déstabilisent."

Après avoir posé le café sur une petite table de chevet, il se pencha légèrement et, sans plus de cérémonie, empoigna la poitrine de l’inconnue. Essayant d’avoir l’air professionnel, il malaxait ces tendres mamelons de ses doigts virils.

-"Hm, vous m’avez l’air en bonne santé. Voyons c’est… du C ? 90C ?"
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptyDim 15 Fév - 21:21

Fébrile, presque fiévreuse – ses lunettes semblaient ne jamais cesser de glisser, ce qui l'obligeait constamment à les remonter -, elle n'en pouvait plus d'attendre. Bien sûr, elle était arrivée à l'avance, même si ce n'est pas dans l'ordre des choses, mais tout de même, selon ses calculs et les observations qu'elle avait pu faire, il n'allait pas tarder à arriver...

Et en effet, quelques minutes plus tard, il arriva. Il ouvrit la porte... puis plus rien. Pensée scrutait... et BAM un grand coup de pied. Oh seigneur ! Quelle virilité ! Un choc électrique, semble t-il, fit vibrer la jeune fille de sa moelle épinière jusqu'à son cœur, et de son cœur jusqu'à son ventre. Oh mon Dieu ! Merci mille fois ! Tous ces soirs passés à prier n'ont donc pas été vains ! Merci, merci.
Elle soupira, les yeux étincelants. Il se tenait devant elle ! L'apparition de la vierge Marie à Lourdes n'aurait pas su provoqué plus d'effet, d'émoi et de passion. Ciel qu'il était beau, magnifique, ineffablement sublime !
Dans sa poitrine qui se soulevait et s'abaissait au rythme devenu irrégulier de son diaphragme, son cœur battait incroyablement vite. D'ailleurs, le sang n'avait pas attendu et, propulsé à une vitesse impressionnante, il s'était retrouvé en quelques micro-secondes à teinter les joues de la jeune fille d'un pourpre tout à fait charmant.
La vue presque troublée par les larmes qui lui montait aux yeux, elle recueillit, faible et encore plus fiévreuse, les paroles qu'Il prononça :

-"Eh bien, mademoiselle, vous allez attraper froid dans cette tenue, j’espère que je serais apte de vous guérir même si vous faites monter en moi quelques fièvres qui me déstabilisent."

Oh...
    He speaks:
    O, speak again, bright angel! for thou art
    As glorious to this light, being o'er my head
    As is a winged messenger of heaven
    Unto the white-upturned wondering eyes
    Of mortals that fall back to gaze on him
    When he bestrides the lazy-pacing clouds
    And sails upon the bosom of the air.

Elle porta sa main à son cœur comme pour vérifier qu'il était toujours là. Car, sous le choc du timbre si délectable et suave et chaud, et savoureux de sa voix, l'organe avait stoppé de battre avant de reprendre petit à petit un rythme qui ne cessait d'augmenter. Elle resta néanmoins muette, encore stupéfaite qu'il ait pu lui adresser la parole, et surtout, un regard des plus suggestifs : Il avait l'œil allumé, c'était clair. Et ces paroles, ah, ces sacrées paroles, il voulait d'elle, et sa fièvre, elle lui la donnera volontiers !
Il s'approcha, elle se laissa faire. Il s'assit à côté d'elle, c'était certain, Il devait entendre son cœur battre ! Elle-même le sentait jusque dans ses tempes, et jusque dans son intimité. Sa respiration l'on pouvait entendre, mais son cœur, je crains que non, car lorsqu'Il le lui toucha, celui-ci s'arrêta sur le champ une nouvelle fois.

-"Hm, vous m’avez l’air en bonne santé. Voyons c’est… du C ? 90C ?"
    Ooowww... Shall I hear more, or shall I speak at this?

Et voilà que la pompe reprenait son cycle.

« Ho... Monsieur Shamal... » Elle posa sa main sur la main de Julio. « Oui du 90C, comme vous aimez n'est-ce pas ! » Elle avala sa salive et reprit son souffle. Parler était devenu une véritable épreuve, et seigneur, qu'il faisait chaud... on étouffait là-dedans...
« Oh... Monsieur... » Une véritable épreuve... elle sentait en elle monter une énergie irrésistible. Ça partait du plus profond d'elle même, du cœur de son être : de son ventre, et cela semblait se propager partout, et si vite, et seigneur, le désir, c'était du désir hein, cette force, cette puissance... cette passion, c'était, incontrôlable ! ces lèvres, mon dieu ces lèvres, mais, il fallait qu'elle les embrasse, c'était insoutenable ! Oh, elle était irrémédiablement attirée, il... mon Dieu, il fallait, elle, oh, ces lèvres, embrasser.
[ ''A fuckin... just... gimmie a...'' (Emily, Skins ©) ]

Roh, et puis ! Elle se jeta sur Julio et l'embrassa sans lui demander son avis. Merde après tout, elle avait fait le tour du monde pour le rejoindre, elle avait attendu si longtemps : pas de raison d'attendre encore ! Elle l'embrassa avec fougue, comme dans les films, et la camera commença à tourner, et tourner et tourner et bwwwuuueerrrr !!!
Ahem... euh, merci pour le mouchoir...
Euh, donc où en étiez-nous ? Euh vous, euh, étions... Le baiser donc. Qui lui donna le tournis à elle aussi, mais c'est une autre affaire.
Après cet intense échange de salive, Pensée, toujours dans son élan – et non pas sur, se lança dans une déclaration si enflammé que l'espace d'un instant, l'équipe technique et moi-même avant hésité à appeler les pompiers :

« Oh Julio, mon Julio... mon Soleil, ma Lumière
Julio, si vous saviez combien vous me blessez
Et combien de regards qui ne se sont lassés
J'ai perdu parcourant, seule, la terre entière

J'ai fait son tour, j'ai dû sortir de ma tanière
Et gagner ce pays âmes et corps liés
Afin de pouvoir vos yeux enfin retrouver
Pour vous cher amour, j'ai fait le tour de la sphère

Julio, j'ai traversé des chemins biens étroits
Pour revoir au dessus de votre sourcil droit
(à quatre millimètres sur la gauche), ce

Grain de beauté dont je suis sûre, l'existence
Vous ignorez. Ne pensez point ceci une farce
Car c'est mon seigneur, le motif de ma présence »
Revenir en haut Aller en bas
Docteur Shamal
Others | Mafieux & Médecin
Docteur Shamal


Messages : 69
Date d'inscription : 24/01/2009

Feuille de personnage
Age du perso: 35ans
Humeur: Venez venez mes petits chatons !
Relation:

Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptyLun 16 Fév - 23:26

Ciel une hypertension ! La jeune fille semblait revenir d’un 8059km nage libre, le souffle court, le cœur aussi rapide que celui qu’un oiseau, les joues joliment teintés et des yeux qui semblaient avoir vu un fantôme… ou un Dieu, au choix. Ha, le cœur s’était arrêté, mon dieu, alors elle était cardiaque !!! Elle le savait surement, peut-être avait-elle voulu mourir en tant que femme, mourir dans les bras d’un homme. Comme c’était romantique. Bon, ben, allé, on reste plus qu’à appeler le croque-mort, Shamal n’était pas nécrophile. C’était dommage pourtant, cette petite était bien jolie, mais bon, c’était le cycle de la vie. Une de perdue, dix de retrouvé.

-"Ho... Monsieur Shamal..."

Haaaa, une morte vivante ! Le docteur sursauta quelque peu en sentant une main brulante sur la sienne. Bon, au moins on tuera pas d’arbre pour faire son cercueil.

-Oui du 90C, comme vous aimez n'est-ce pas !

Ha, on se connaît ? Il cligna un peu des yeux et aborda un sourire des plus pervers. Il ne savait pas qui était cette femme, mais une chose était sur : c’était bien lui qu’elle était venue voir. Et elle semblait avoir quelques informations à son sujet. Comme c’était touchant. La jeune fille semblait cependant proie à quelques fièvres délirantes qui pouvait la faire passer pour une groupie quelconque.

-"Oh... Monsieur... "

Ah, comme il aimait qu’on l’appelle "Monsieur". C’était un délice oral tout ce qu’il y avait de plus jouissif. Intrigué et totalement captivé par la paire de seins qu’il malaxait toujours, il se pencha quelque peu pour écouter ce qu’elle avait à lui dire. Parce que visiblement, ça n’avait pas l’air facile pour elle. Mais d’un coup, elle se jeta sur lui avait une fougue fort peu retenue et l’embrassa à pleine bouche comme s’ils ne s’étaient pas revus depuis cinq siècles et qu’ils avaient vécu une histoire des plus enflammés auparavant. Il aurait pu rester immobile et choqué, mais c’était Shamal, et Shamal on ne résistait pas à l’appel des lèvres goulues et affamées. Alors il laissa le menton de la demoiselle s’égratigner contre sa barbe mal rasé et sa langue valser dans sa salive tiède. Mais c’était… c’était trop facile. Ah, qu’importe tant que ça avait des seins ! Tant que c’était superficiel, que ça n’avait absolument rien de profond, juste un coup, juste du sexe, juste un flirt, c’était toujours bon à prendre. C’était comme manger un gros éclair au chocolat sans prendre un seule gramme, le bonheur pur et simple. Prendre le meilleur, éviter le pire. Fuir les responsabilités, ne pas s’encombrer, ne pas blesser, se blesser, être indépendant… que de rêves, que de magie. Pour l’instant, jamais boulet n’avait été trop bien accroché à son pied pour qu’il ne puisse s’en détacher.
Et voilà qu’elle se mit à parler, enfin parler… sinon qu’elle récitait plutôt à toute allure comme si elle avait un train à prendre. Shamal resta interdit un instant pendant ce discours.
Hein ? Il y a un grain de beauté au dessus du sourcil ? Son visage charmeur se transforma en quelque chose de plus… surpris. Il appréhendait quelconques plaisanteries, ou alors cette jeune femme était vraiment… Mon dieu, il y avait des gens suffisamment fous pour faire le tour du monde pour quelqu’un ? Ca faisait presque peur, et il afficha une mine assez exaspéré, presque gêné. Ses yeux semblaient crier "Mon dieu mais… qui c’est cette folle ? Bon, on reste calme, on garde l’air charmeur…" Après un gros blanc de quelques minutes, il lâcha la poitrine de la demoiselle et desserra un peu sa cravate qui l’étouffait.

-"En voilà en surprise, mais si j'ai eu le plaisir de vous avoir déjà vu, je n’aurais pu oublier un si beau visage… et une aussi belle pair de… enfin, un aussi beau corps. Peut-être que vous pourriez me rafraichir la mémoire ?"

Il loucha à nouveau sur la paire de lolos proéminents et adopta une mine réfléchie.

-"C’est des vrais ?"
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptyMer 1 Avr - 16:04

Oh non mon dieu ! il avait l’air déçu ! Ciel, mais qu’avait-elle pu dire pour lui déplaire ? Pensée commença à s’affoler mais fit un effort énorme pour recouvrer le calme – ce qui n’était en rien évident vu l’émoi dans lequel la plongeait Shamal. Tout ce chemin pour le décevoir, ce n’était pas possible ! elle faillit frôler l’AVC une nouvelle fois, mais le sieur italien sembla retrouver son intérêt pour la demoiselle : ses yeux se mirent à briller à nouveau. Il desserra quelque peu sa cravate, ce qui aurait pu donner des idées équivoques à n’importe quelle autre jeune fille que la pure et chaste Pensée, et prit la parole :

-"En voilà en surprise, mais si j'ai eu le plaisir de vous avoir déjà vu, je n’aurais pu oublier un si beau visage… et une aussi belle pair de… enfin, un aussi beau corps. Peut-être que vous pourriez me rafraichir la mémoire ?"

Oooohh… si l’humain pouvait fondre littéralement, elle serait devenue une flaque d’eau, mais heureusement que la littérature est pleine de si jolies hyperboles ainsi Pensée pu garder toute sa consistance. Sa contenance par contre, qui était déjà pas mal affaiblie fut complètement anéantie par ces paroles si douces. Il ne m’aurait pas oublié ! Les larmes lui en montèrent aux yeux. Elle était quelque peu blessée parce que justement, il l’avait oublié... Il ne se souvenait pas d’elle, le goujat, alors qu’il lui avait brisé le cœur ! Elle allait lui rafraichir la mémoire lorsque les mains de l’italien revinrent copiner avec ses seins. Seigneur que le contact était si plaisant, et que ces mains étaient si chaudes…
Et ses yeux, si luisants… Rah, il était trop chou !

-"C’est des vrais ?"

Pensée fut émue qu’il lui porte tant d’intérêt, mais il n’allait pas s’en tirer si facilement ! Elle était peut-être amoureuse mais elle n’était pas stupide quand même !

« Bien sûr qu’ils sont vrais, j’ai fait énormément de régimes pour pouvoir vous plaire ! Oh, si vous saviez… » Les souvenirs étaient si intenses, la pauvre fillette avait beaucoup de mal à ne pas laisser ses larmes couler. Mais il fallait qu’elle lui dise qu’il avait été vilain avec elle. Elle fronça les sourcils et se concentra pour parler :
« Mais vous avez été méchant avec moi ! Vous m’avez dit que j’étais moche, vilain… »

Le vilain fut prononcé d'une voix plus basse - elle n'entendait pas le vexer... Son mignon visage esquissa bientôt une moue de tristesse, choupinette à n’en pas douter. La jeune fille n’osa pas se jeter dans les bras du bellâtre, songeant qu’il n’aurait qu’à le faire de lui-même, voilà !
De toute évidence c’était là la meilleure punition possible…
Revenir en haut Aller en bas
Docteur Shamal
Others | Mafieux & Médecin
Docteur Shamal


Messages : 69
Date d'inscription : 24/01/2009

Feuille de personnage
Age du perso: 35ans
Humeur: Venez venez mes petits chatons !
Relation:

Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. EmptySam 4 Avr - 21:11

-Bien sûr qu’ils sont vrais, j’ai fait énormément de régimes pour pouvoir vous plaire ! Oh, si vous saviez…
S’il savait quoi ? Qu’il était en face d’une greluche puissance 4 ? Il commençait à se faire une idée. Mais bon, tout n’est pas dans la tête hein, il faut savoir être compatissant. C’est vrai quoi, quand une fille est moche et intelligente, le peuple fait toujours genre "Noon, vous êtes méchant ! C’est l’intérieur qui compte !" Mais quand il y a un canon de beauté conne comme un ananas une fraise et qu’on dit gentiment "Non mais, arrêtez de dire qu’elle est conne, le physique compense !", tout de suite, on vous traite de gros naze superficiel.
Bref, donc, le physique, c’est bien aussi. Ce n’est d’ailleurs pas que bien, disons que c’est carrément mieux. Enfin, le fait était que la jeune fille parlait, les larmes aux yeux, ce qui la rendait d’un adorable certain. So moe moe kawaii ne. Ha, la voilà qui fronça les sourcils, ce qui la rendait d’un charisme certain. So yeah sexy fire.

-Mais vous avez été méchant avec moi ! Vous m’avez dit que j’étais moche, vilain…

Shamal haussa un sourcil du genre "Moi ? J’ai dit ça ?" Oh la pauvre petite avait l’air d’avoir tellement souffert, c’était vraiment trop triste. La vue de ce visage tristounet ne l’empêchait pas de caressait allégrement sa poitrine surdéveloppée.

-J’ai fait ça, moi ? Vous devez vous tromper de personne, non ne dites rien ma mignonne, je suis bien content que cette erreur vous mène jusque moi, ça doit être le destin.

Le destin ouais. Les femmes aimaient quand on leur parlait de destin. De plus, Shamal savait parfaitement qu’elle ne se trompait pas de personne, il s’en souvenait, de cette mocheté. Un hippopotame avec des troncs d’arbres à la place des jambes, des boutons qui pullulaient partout, mais toujours ces yeux. Rien que la vision du monstre lui donnait envie de vomir, alors autant oublier. La chirurgie faisait des miracles. Mais son plan habituel semblait compromis. Le "Je la séduis, je m’affiche, je couche, je passe à une autre" semblait endommagés dès le début. Avait-il besoin de la séduire ? Non. Et pourtant, c’était le meilleur. Enfin, il pourrait s’en passer, il s’en était déjà passé. Il avait sa règle d’or qui résonnait dans sa tête "Ne joue pas avec ce sentiment là". Dès que la fille commençait à approuver ce qu’on appelait communément "amour", il fuyait. Parce qu’il ne voulait pas faire souffrir ces créatures. Elles devaient jouer le jeu, comme lui. Il fallait lui laisser sa liberté, à Shamal. Les jeunes filles ne se devaient pas d’être collantes et harceleuse, c’était le rôle des hommes. Mais tant que cette jeune fille ne le lui avait pas dit, tant qu’elle n’avait pas prononcé ces mots, alors ça devait aller. Cependant, il ne fallait pourtant pas jouer avec le feu, il fallait qu’il sache précisément. Le médecin avait quitté les seins de la jeune fille pour essuyer quelques larmes invisibles et passa son index halé sur ses lèvres pulpeuses.

-Vous êtes venu donc me voir pour la St Valentin ? C’est très romantique de votre part sweety, quelle maladie rare avez-vous donc attrapé pour avoir fait tout ce voyage ?

Ayant eu un aperçue de la passion que la jeune fille semblait porter aux réponses niaises et au lyrisme, il espérait avoir une réponse. Pitié qu’elle dise qu’elle se sentait juste seule, qu’elle est juste sous le charme, séduite, hypnotisée, mais pas ce verbe. Pas l’amour. Ce serait vraiment trop cruel, pour elle. Les femmes ne méritaient pas de souffrir, surtout de ça. Parce qu’il avait sa liberté, comme une perle rare. Mais il souriait toujours, d’un air séducteur à en tomber après avoir déposé un tendre baiser sur ses lèvres, comme pour réveiller quelconques princesses.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Happy St Day, My Valentine. Empty
MessageSujet: Re: Happy St Day, My Valentine.   Happy St Day, My Valentine. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Happy St Day, My Valentine.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Katekyo Hitman Reborn :: Archive Hors-rpg-
Sauter vers: